// Dans le cadre du festival SPOT #5 //
Une adolescente brésilienne reçoit la visite de son professeur d’anthropologie pour répéter un exposé qui lui permettra de décrocher une bourse importante. Mais lorsque la jeune fille aborde une épineuse polémique sur le traitement des indiens d’Amazonie par les scientifiques occidentaux, la relation avec son professeur se complexifie et le réel vacille.
Le réalisme ordonné où se prépare l’exposé de la jeune fille sombre alors peu à peu dans un univers chaotique où rôdent les fantômes de la polémique « Darkness in El dorado », et où surgissent les vestiges fantasmatiques d’une soirée de fête où la jeune brésilienne est attendue : La nuit animale. À mesure que la soirée avance, se dessinent les contours d’une troublante cérémonie chamanique dans laquelle les personnages pénètrent d’autres strates de réalité.
AVANT-SCÈNES // MADE IN TPV
COUP DE PROJECTEUR SUR DES CRÉATIONS EN COURS !
En première partie de La nuit animale, une équipe artistique accueillie en résidence au Théâtre Paris-Villette ou au Grand Parquet vous présente une étape de son travail (lecture, extrait…). Gratuit sur réservation
>>> DES VIES SAUVAGES
Cie Les Vingtièmes Rugissants (Guillaume Mazeau / Pauline Susini)
mercredi 19 septembre à 19h
en savoir +
En images
Générique
écriture, mise en scène et scénographie Charles Chauvet / avec Isabel Aime Gonzalez Sola et Luca Besse / Et les voix de Maria Adelia Cardoso Fereira, Inês Le Gué, Caroline Menon Bertheux et Antoine Prost / création lumières Léa Maris / création son Antoine Prost / Le texte a été réécrit au plateau en collaboration avec les interprètes.
Un spectacle de la plateforme AZA / Ce texte est lauréat de l’aide à la création de textes dramatiques – ARTCENA / Production : Cie AZA (Nizi Maza), Collectif Curry Vavart / Soutiens : Jeune Théâtre National, Le Carreau du Temple, Lilas en scène / Remerciements : Thomas Pondevie, Cie Babel-Elise Chatauret, Mathieu Mistler, Céline Martin Sisteron, Vincent Thépaut / Diffusion : Olivier Talpaert – En votre compagnie
© Léa Maris ou Charles Chauvet
