Un jour au collège, Talia voit débarquer Jade, intervenante en méditation. En suivant les conseils de Jade, Talia tente de faire le vide en elle pour atteindre le but suprême : NE PENSER À RIEN. Seulement, il y a une voix à l’intérieur de Talia qui n’est pas prête à se taire : c’est Taliabis, qui n’arrête jamais de parler, d’imaginer, d’interroger, d’analyser, de juger, de questionner.
En décortiquant les méandres de l’esprit d’une enfant qui devient grande, Moi c’est Talia dissèque le tournant de l’adolescence du point de vue de la pensée.
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« En fait, c’est un peu comme si j’avais une autre voix dans ma tête. Comme s’il y avait une autre personne. Je m’en étais pas vraiment rendue compte avant. Elle fait que parler cette voix, elle s’arrête jamais. »
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Générique
écriture et mise en scène Faustine Noguès / avec Délia Espinat-Dief & Lia Khizioua Ibañez / création sonore et musicale Colombine Jacquemont / scénographie, costumes, collaboration artistique Alice Girardet / création lumière Zoé Dada / avec la participation d’Ariane Ascaride, Sarah Brannens, Élisabeth Dada et David Lescot.
production déléguée : Théâtre Paris-Villette / coproductions : Compagnie Madie Bergson, Théâtre de Corbeil-Essonnes – Grand Paris Sud, Espace Marcel Carné de Saint-Michel-sur- Orge, Théatre Chevilly-Larue, André Malraux / soutiens : ministère de la Culture – Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France, Région Île-de-France, ville de Paris, Festival Rumeurs Urbaines – compagnie Le Temps de Vivre, Chartreuse – CNES de Villeneuve-lès-Avignon, Bureau des Filles