Dans un futur, peut-être pas si lointain, une mégapole de tours de verres, une atmosphère tellement polluée que l’on ne sort jamais, un adolescent solitaire tombe amoureux de Céleste, récemment arrivée dans son école. Mais tout cet univers bascule alors que celle-ci disparaît…
Dystopie écologique, Céleste, ma planète nous aide à réfléchir à travers un conte : quand une histoire d’amour se fait combat écologique…
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« À l’heure du déjeuner, elle est partie et n’a jamais remis les pieds au collège. Il fallait que je la retrouve. »
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La presse en parle
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Générique
d’après Céleste, ma planète de Timothée de Fombelle © Gallimard Jeunesse / adaptation et mise en scène Didier Ruiz / dramaturgie Olivia Burton / jeu Delphine Lacheteau, Hugues de la Salle, Mathieu Dion / scénographie Emmanuelle Debeusscher / vidéo Zita Cochet / création lumière Maurice Fouilhé / création sonore Adrien Cordier / images animées Lucien Aschehoug, Aurore Fénié / costumes Marjolaine Mansot / régie Jérôme Moisson / © Emilia Stéfani Law
production La compagnie des Hommes / coproduction Les Bords de Scènes –Grand-Orly Seine Bièvre, le Théâtre de Chevilly-Larue, Maif Social Club – Paris, Le Channel – scène nationale de Calais / soutiens département du Val-de-Marne, département de l’Essonne, SPEDIDAM / projet mené en partenariat avec l’Amin Théâtre – Le TAG, le Théâtre Traversière – Paris, La Faïencerie-Théâtre – Creil et l’Azimut– Antony/Châtenay-Malabry / avec la participation artistique du Studio-Esca, du Jeune Théâtre National / La compagnie des Hommes est conventionnée par la Direction régionale des affaires culturelles d’Ile-de-France et par la Région Ile-de-France.